



MODULES
CONTENU
À PROPOS
🍴 C’est pas juste manger, c’est construire
Tu t’entraînes.
Tu donnes.
Tu fais le travail.
Mais est-ce que ce que tu donnes à ton corps ensuite est à la hauteur de ce que tu lui demandes pendant l’effort ?
Ton entraînement est un signal.
Il dit à ton corps : “Prépare-toi à évoluer.”
Mais pour qu’il réponde, il lui faut des matériaux, de l’énergie, de la matière.
Ton muscle, c’est de la matière vivante.
Il se dégrade sous la charge, puis se reconstruit — à condition que tu lui donnes de quoi le faire.
Et ce “de quoi”, c’est pas juste “manger plus”.
C’est lui fournir chaque jour les bons macronutriments :
→ Protéines
→ Glucides
→ Lipides
Pas de bons apports → pas de construction.
Juste de la survie.
De la stagnation.
Et de la frustration.
L’effort sans récupération ni nutrition adaptée, c’est du surplace.
Et la nutrition, c’est l’un des leviers les plus concrets pour transformer ce que tu fais à la salle.
Et c'est ce qui va déterminer en partie si tu progresses… ou si tu tournes en rond.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯
⚖️ La balance énergétique : simple, mais décisive
Pour que ton corps construise du muscle, il lui faut plus que ce qu’il dépense.
Pas un excès brutal, mais un léger surplus, maîtrisé, constant.
Chaque jour, tu brûles de l’énergie.
Et pas seulement à l’entraînement.
Voici les 4 grandes sources de dépense :
🫀 Métabolisme de Base (MB)
→ Ce que ton corps consomme pour rester en vie — respiration, organes, cerveau…
C’est la plus grosse part, et elle varie selon ton âge, ta taille, ton poids et ta masse musculaire.
🚶 Non Exercise Activity Thermogenesis (NEAT)
→ Tout ce que tu fais sans t’en rendre compte — marcher, te lever, bouger au boulot, cuisiner, monter des escaliers.
Une personne active hors sport peut dépenser bien plus qu’elle ne l’imagine.
🍽️ Digestion - Thermic Effect of Food (TEF)
→ Ton corps consomme aussi de l’énergie pour digérer.
Et les protéines demandent plus d’effort que le sucre ou le gras.
🏋️ Ta séance de musculation
→ Elle compte aussi… mais ce n’est jamais la plus grosse part de ta dépense.
💡 Et voilà ce que je veux que tu retiennes :
Si tu lui donnes moins → il s’adapte.
Si tu lui donnes juste ce qu’il faut → il maintient.
Si tu lui donnes un peu plus → il peut construire.
Mais ce surplus doit être intelligent :
→ Des protéines pour reconstruire
→ Des glucides pour alimenter l’effort
→ Des lipides pour soutenir ton équilibre
❌ Pas un surplus de n’importe quoi.
✅ Un surplus utile, qui sert ta progression.
Tu n’as pas besoin d’être un robot.
Mais tu ne peux plus continuer à manger “au hasard” et espérer progresser.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯
🧨 Ce que je vois souvent… et qui freine tout
L’intention est là.
Mais les résultats n’arrivent pas.
Et c’est rarement un manque de motivation.
C’est plutôt un manque de méthode, ou des erreurs qu’on ne voit même plus.
Voici les erreurs que je vois chez 80 % des pratiquants qui stagnent :
→ 🥗 Manger “propre” mais pas assez
Faire attention à la qualité, c’est bien.
Mais si tu n’as pas assez d’énergie, ton corps freine, même avec des aliments “sains”.
→ ⏰ Sauter des repas ou “oublier” de manger
Quand tu veux construire, chaque repas est une opportunité.
Si tu zappes régulièrement, ton corps reste en mode survie.
→ 🌙 Manger en grosse quantité… mais uniquement le soir
Peu ou rien le matin, un snack à midi, et explosion calorique à 20h.
Résultat : digestion difficile, sommeil perturbé, pas de construction optimale.
→ 🎯 Suivre ton appétit au lieu d’une direction claire
Ton appétit varie selon le stress, le sommeil, les habitudes…
Et il ne reflète pas toujours ce dont ton corps a réellement besoin pour construire.
→ 📅 Couper trop fort les jours off
C’est logique de réduire un peu les apports quand tu t’entraînes pas.
Mais beaucoup vont trop loin : repas sautés, trop peu de certains macronutriments, culpabilité de manger “sans avoir mérité”.
Résultat : tu freines la récupération, tu casses le rythme… et tu rends le retour à l’entraînement moins productif.
Si tu t’es reconnu là-dedans, t’es pas seul.
C’est ce que je corrige chez beaucoup de personnes que j’accompagne.
Et c’est ce qui débloque les résultats en quelques semaines.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯
🔄 Après les erreurs… il y a aussi les croyances
Tu peux éviter les erreurs techniques…
Mais si tes pensées tournent en boucle, tu restes bloqué pareil.
🍔 “Mais je mange déjà beaucoup !"
→ Non, tu le crois.
Mais sans repères concrets, tu sous-estimes 9 fois sur 10.
🫤 “J’ai peur de prendre du gras.”
→ Une peur fréquente, et totalement compréhensible.
Mais ce qu’il faut retenir, c’est que prendre un peu de gras dans une prise de masse bien menée, c’est normal, c'est OK.
Ce n’est pas un échec, ça fait partie du processus.
Ce qui compte, c’est de le faire intelligemment, avec un surplus maîtrisé, et des choix cohérents.
🥄 “Je suis un petit mangeur.”
→ Peut-être. Pour l’instant. Mais ça se travaille.
Et quand c’est bien fait, ton appétit évolue avec ton corps.
⏳ “Je n’ai pas faim le matin.”
→ Je te comprends. À mes débuts, il me fallait 1 ou 2 heures avant de pouvoir avaler quoi que ce soit.
Mais j’ai développé des stratégies simples et progressives.
Et maintenant, mon premier repas est devenu un automatisme.
Ton corps s’adapte. Il suffit de l’y amener doucement.
⚖️ “Je ne veux pas peser mes aliments, j’ai peur de devenir obsédé.”
→ Pas besoin de le faire à vie. Mais le faire un temps, c’est ce qui t’apprend à viser juste ensuite.
Manger au hasard, c’est ce qui t’oblige à y penser tout le temps.
Quand tu sais ce que tu fais, tu y penses moins, et tu deviens plus libre.
🧊 “Je ne veux pas devenir rigide avec la bouffe.”
→ Manger avec intention, ce n’est pas être rigide.
C’est savoir ce que tu fais, pourquoi tu le fais, et quand tu peux te permettre plus de souplesse.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯
🚀 Ce que ça change concrètement de manger pour construire
Tu fais le taf à l’entraînement.
Mais derrière… tu mets du temps à récupérer.
Tu te réveilles fatigué. T’as des fringales à 16h.
Et le soir, tu grignotes sans vraiment avoir faim.
Et ton corps ?
Il réagit à peine.
Tu t’entraînes dur, tu t’impliques…
Mais ça ne bouge pas.
Tu te dis :
“Je m’investis. Je force. Mais je vois rien.”
Et peu à peu, la motivation se fait grignoter.
Maintenant imagine : Tu manges pour construire.
Pas au hasard, pas en mode extrême.
Juste ce qu’il faut.
Bien réparti, régulier, adapté.
Et là, tu sens la bascule :
→ Tu récupères plus vite
→ Tu sens plus d’énergie dès l’échauffement
→ Tu gagnes en force, semaine après semaine
→ Tu dors mieux, plus profond, plus stable
→ Tu vois enfin ton corps réagir positivement à ce que tu fais
→ Et surtout — Tu sais pourquoi tu progresses.
Chaque repas devient un vrai levier.
Ton corps te remercie au lieu de te freiner.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯
🎬 Et maintenant ?
Tu as deux choix.
❌ Rester dans le flou.
→ “Faire attention”, “manger à peu près bien”, “voir ce que ça donne”…
→ Croire que t’en fais déjà assez.
→ T’accrocher à tes anciennes habitudes.
→ Espérer que ça finira par marcher “à force”.
Et continuer à tourner en rond…
Dans un corps qui fait des efforts, mais qui ne change pas..
✅ Ou faire ce que peu de gens osent vraiment faire :
→ Reprendre le contrôle sur ton alimentation.
→ Nourrir ton corps pour qu’il te le rende.
→ Manger avec intention, pas au hasard.
Parce que manger pour construire, ce n’est pas juste cocher une case.
C’est un vrai engagement envers ta progression.
Et ce que tu donnes à ton corps…
Il va te le rendre.
En muscle.
En énergie.
En confiance.
MODULES
CONTENU
À PROPOS
🍴 C’est pas juste manger, c’est construire
Tu t’entraînes.
Tu donnes.
Tu fais le travail.
Mais est-ce que ce que tu donnes à ton corps ensuite est à la hauteur de ce que tu lui demandes pendant l’effort ?
Ton entraînement est un signal.
Il dit à ton corps : “Prépare-toi à évoluer.”
Mais pour qu’il réponde, il lui faut des matériaux, de l’énergie, de la matière.
Ton muscle, c’est de la matière vivante.
Il se dégrade sous la charge, puis se reconstruit — à condition que tu lui donnes de quoi le faire.
Et ce “de quoi”, c’est pas juste “manger plus”.
C’est lui fournir chaque jour les bons macronutriments :
→ Protéines
→ Glucides
→ Lipides
Pas de bons apports → pas de construction.
Juste de la survie.
De la stagnation.
Et de la frustration.
L’effort sans récupération ni nutrition adaptée, c’est du surplace.
Et la nutrition, c’est l’un des leviers les plus concrets pour transformer ce que tu fais à la salle.
Et c'est ce qui va déterminer en partie si tu progresses… ou si tu tournes en rond.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯
⚖️ La balance énergétique : simple, mais décisive
Pour que ton corps construise du muscle, il lui faut plus que ce qu’il dépense.
Pas un excès brutal, mais un léger surplus, maîtrisé, constant.
Chaque jour, tu brûles de l’énergie.
Et pas seulement à l’entraînement.
Voici les 4 grandes sources de dépense :
🫀 Métabolisme de Base (MB)
→ Ce que ton corps consomme pour rester en vie — respiration, organes, cerveau…
C’est la plus grosse part, et elle varie selon ton âge, ta taille, ton poids et ta masse musculaire.
🚶 Non Exercise Activity Thermogenesis (NEAT)
→ Tout ce que tu fais sans t’en rendre compte — marcher, te lever, bouger au boulot, cuisiner, monter des escaliers.
Une personne active hors sport peut dépenser bien plus qu’elle ne l’imagine.
🍽️ Digestion - Thermic Effect of Food (TEF)
→ Ton corps consomme aussi de l’énergie pour digérer.
Et les protéines demandent plus d’effort que le sucre ou le gras.
🏋️ Ta séance de musculation
→ Elle compte aussi… mais ce n’est jamais la plus grosse part de ta dépense.
💡 Et voilà ce que je veux que tu retiennes :
Si tu lui donnes moins → il s’adapte.
Si tu lui donnes juste ce qu’il faut → il maintient.
Si tu lui donnes un peu plus → il peut construire.
Mais ce surplus doit être intelligent :
→ Des protéines pour reconstruire
→ Des glucides pour alimenter l’effort
→ Des lipides pour soutenir ton équilibre
❌ Pas un surplus de n’importe quoi.
✅ Un surplus utile, qui sert ta progression.
Tu n’as pas besoin d’être un robot.
Mais tu ne peux plus continuer à manger “au hasard” et espérer progresser.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯
🧨 Ce que je vois souvent… et qui freine tout
L’intention est là.
Mais les résultats n’arrivent pas.
Et c’est rarement un manque de motivation.
C’est plutôt un manque de méthode, ou des erreurs qu’on ne voit même plus.
Voici les erreurs que je vois chez 80 % des pratiquants qui stagnent :
→ 🥗 Manger “propre” mais pas assez
Faire attention à la qualité, c’est bien.
Mais si tu n’as pas assez d’énergie, ton corps freine, même avec des aliments “sains”.
→ ⏰ Sauter des repas ou “oublier” de manger
Quand tu veux construire, chaque repas est une opportunité.
Si tu zappes régulièrement, ton corps reste en mode survie.
→ 🌙 Manger en grosse quantité… mais uniquement le soir
Peu ou rien le matin, un snack à midi, et explosion calorique à 20h.
Résultat : digestion difficile, sommeil perturbé, pas de construction optimale.
→ 🎯 Suivre ton appétit au lieu d’une direction claire
Ton appétit varie selon le stress, le sommeil, les habitudes…
Et il ne reflète pas toujours ce dont ton corps a réellement besoin pour construire.
→ 📅 Couper trop fort les jours off
C’est logique de réduire un peu les apports quand tu t’entraînes pas.
Mais beaucoup vont trop loin : repas sautés, trop peu de certains macronutriments, culpabilité de manger “sans avoir mérité”.
Résultat : tu freines la récupération, tu casses le rythme… et tu rends le retour à l’entraînement moins productif.
Si tu t’es reconnu là-dedans, t’es pas seul.
C’est ce que je corrige chez beaucoup de personnes que j’accompagne.
Et c’est ce qui débloque les résultats en quelques semaines.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯
🔄 Après les erreurs… il y a aussi les croyances
Tu peux éviter les erreurs techniques…
Mais si tes pensées tournent en boucle, tu restes bloqué pareil.
🍔 “Mais je mange déjà beaucoup !"
→ Non, tu le crois.
Mais sans repères concrets, tu sous-estimes 9 fois sur 10.
🫤 “J’ai peur de prendre du gras.”
→ Une peur fréquente, et totalement compréhensible.
Mais ce qu’il faut retenir, c’est que prendre un peu de gras dans une prise de masse bien menée, c’est normal, c'est OK.
Ce n’est pas un échec, ça fait partie du processus.
Ce qui compte, c’est de le faire intelligemment, avec un surplus maîtrisé, et des choix cohérents.
🥄 “Je suis un petit mangeur.”
→ Peut-être. Pour l’instant. Mais ça se travaille.
Et quand c’est bien fait, ton appétit évolue avec ton corps.
⏳ “Je n’ai pas faim le matin.”
→ Je te comprends. À mes débuts, il me fallait 1 ou 2 heures avant de pouvoir avaler quoi que ce soit.
Mais j’ai développé des stratégies simples et progressives.
Et maintenant, mon premier repas est devenu un automatisme.
Ton corps s’adapte. Il suffit de l’y amener doucement.
⚖️ “Je ne veux pas peser mes aliments, j’ai peur de devenir obsédé.”
→ Pas besoin de le faire à vie. Mais le faire un temps, c’est ce qui t’apprend à viser juste ensuite.
Manger au hasard, c’est ce qui t’oblige à y penser tout le temps.
Quand tu sais ce que tu fais, tu y penses moins, et tu deviens plus libre.
🧊 “Je ne veux pas devenir rigide avec la bouffe.”
→ Manger avec intention, ce n’est pas être rigide.
C’est savoir ce que tu fais, pourquoi tu le fais, et quand tu peux te permettre plus de souplesse.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯
🚀 Ce que ça change concrètement de manger pour construire
Tu fais le taf à l’entraînement.
Mais derrière… tu mets du temps à récupérer.
Tu te réveilles fatigué. T’as des fringales à 16h.
Et le soir, tu grignotes sans vraiment avoir faim.
Et ton corps ?
Il réagit à peine.
Tu t’entraînes dur, tu t’impliques…
Mais ça ne bouge pas.
Tu te dis :
“Je m’investis. Je force. Mais je vois rien.”
Et peu à peu, la motivation se fait grignoter.
Maintenant imagine : Tu manges pour construire.
Pas au hasard, pas en mode extrême.
Juste ce qu’il faut.
Bien réparti, régulier, adapté.
Et là, tu sens la bascule :
→ Tu récupères plus vite
→ Tu sens plus d’énergie dès l’échauffement
→ Tu gagnes en force, semaine après semaine
→ Tu dors mieux, plus profond, plus stable
→ Tu vois enfin ton corps réagir positivement à ce que tu fais
→ Et surtout — Tu sais pourquoi tu progresses.
Chaque repas devient un vrai levier.
Ton corps te remercie au lieu de te freiner.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯
🎬 Et maintenant ?
Tu as deux choix.
❌ Rester dans le flou.
→ “Faire attention”, “manger à peu près bien”, “voir ce que ça donne”…
→ Croire que t’en fais déjà assez.
→ T’accrocher à tes anciennes habitudes.
→ Espérer que ça finira par marcher “à force”.
Et continuer à tourner en rond…
Dans un corps qui fait des efforts, mais qui ne change pas..
✅ Ou faire ce que peu de gens osent vraiment faire :
→ Reprendre le contrôle sur ton alimentation.
→ Nourrir ton corps pour qu’il te le rende.
→ Manger avec intention, pas au hasard.
Parce que manger pour construire, ce n’est pas juste cocher une case.
C’est un vrai engagement envers ta progression.
Et ce que tu donnes à ton corps…
Il va te le rendre.
En muscle.
En énergie.
En confiance.
MODULES
CONTENU
À PROPOS
🍴 C’est pas juste manger, c’est construire
Tu t’entraînes.
Tu donnes.
Tu fais le travail.
Mais est-ce que ce que tu donnes à ton corps ensuite est à la hauteur de ce que tu lui demandes pendant l’effort ?
Ton entraînement est un signal.
Il dit à ton corps : “Prépare-toi à évoluer.”
Mais pour qu’il réponde, il lui faut des matériaux, de l’énergie, de la matière.
Ton muscle, c’est de la matière vivante.
Il se dégrade sous la charge, puis se reconstruit — à condition que tu lui donnes de quoi le faire.
Et ce “de quoi”, c’est pas juste “manger plus”.
C’est lui fournir chaque jour les bons macronutriments :
→ Protéines
→ Glucides
→ Lipides
Pas de bons apports → pas de construction.
Juste de la survie.
De la stagnation.
Et de la frustration.
L’effort sans récupération ni nutrition adaptée, c’est du surplace.
Et la nutrition, c’est l’un des leviers les plus concrets pour transformer ce que tu fais à la salle.
Et c'est ce qui va déterminer en partie si tu progresses… ou si tu tournes en rond.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯
⚖️ La balance énergétique : simple, mais décisive
Pour que ton corps construise du muscle, il lui faut plus que ce qu’il dépense.
Pas un excès brutal, mais un léger surplus, maîtrisé, constant.
Chaque jour, tu brûles de l’énergie.
Et pas seulement à l’entraînement.
Voici les 4 grandes sources de dépense :
🫀 Métabolisme de Base (MB)
→ Ce que ton corps consomme pour rester en vie — respiration, organes, cerveau…
C’est la plus grosse part, et elle varie selon ton âge, ta taille, ton poids et ta masse musculaire.
🚶 Non Exercise Activity Thermogenesis (NEAT)
→ Tout ce que tu fais sans t’en rendre compte — marcher, te lever, bouger au boulot, cuisiner, monter des escaliers.
Une personne active hors sport peut dépenser bien plus qu’elle ne l’imagine.
🍽️ Digestion - Thermic Effect of Food (TEF)
→ Ton corps consomme aussi de l’énergie pour digérer.
Et les protéines demandent plus d’effort que le sucre ou le gras.
🏋️ Ta séance de musculation
→ Elle compte aussi… mais ce n’est jamais la plus grosse part de ta dépense.
💡 Et voilà ce que je veux que tu retiennes :
Si tu lui donnes moins → il s’adapte.
Si tu lui donnes juste ce qu’il faut → il maintient.
Si tu lui donnes un peu plus → il peut construire.
Mais ce surplus doit être intelligent :
→ Des protéines pour reconstruire
→ Des glucides pour alimenter l’effort
→ Des lipides pour soutenir ton équilibre
❌ Pas un surplus de n’importe quoi.
✅ Un surplus utile, qui sert ta progression.
Tu n’as pas besoin d’être un robot.
Mais tu ne peux plus continuer à manger “au hasard” et espérer progresser.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯
🧨 Ce que je vois souvent… et qui freine tout
L’intention est là.
Mais les résultats n’arrivent pas.
Et c’est rarement un manque de motivation.
C’est plutôt un manque de méthode, ou des erreurs qu’on ne voit même plus.
Voici les erreurs que je vois chez 80 % des pratiquants qui stagnent :
→ 🥗 Manger “propre” mais pas assez
Faire attention à la qualité, c’est bien.
Mais si tu n’as pas assez d’énergie, ton corps freine, même avec des aliments “sains”.
→ ⏰ Sauter des repas ou “oublier” de manger
Quand tu veux construire, chaque repas est une opportunité.
Si tu zappes régulièrement, ton corps reste en mode survie.
→ 🌙 Manger en grosse quantité… mais uniquement le soir
Peu ou rien le matin, un snack à midi, et explosion calorique à 20h.
Résultat : digestion difficile, sommeil perturbé, pas de construction optimale.
→ 🎯 Suivre ton appétit au lieu d’une direction claire
Ton appétit varie selon le stress, le sommeil, les habitudes…
Et il ne reflète pas toujours ce dont ton corps a réellement besoin pour construire.
→ 📅 Couper trop fort les jours off
C’est logique de réduire un peu les apports quand tu t’entraînes pas.
Mais beaucoup vont trop loin : repas sautés, trop peu de certains macronutriments, culpabilité de manger “sans avoir mérité”.
Résultat : tu freines la récupération, tu casses le rythme… et tu rends le retour à l’entraînement moins productif.
Si tu t’es reconnu là-dedans, t’es pas seul.
C’est ce que je corrige chez beaucoup de personnes que j’accompagne.
Et c’est ce qui débloque les résultats en quelques semaines.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯
🔄 Après les erreurs… il y a aussi les croyances
Tu peux éviter les erreurs techniques…
Mais si tes pensées tournent en boucle, tu restes bloqué pareil.
🍔 “Mais je mange déjà beaucoup !"
→ Non, tu le crois.
Mais sans repères concrets, tu sous-estimes 9 fois sur 10.
🫤 “J’ai peur de prendre du gras.”
→ Une peur fréquente, et totalement compréhensible.
Mais ce qu’il faut retenir, c’est que prendre un peu de gras dans une prise de masse bien menée, c’est normal, c'est OK.
Ce n’est pas un échec, ça fait partie du processus.
Ce qui compte, c’est de le faire intelligemment, avec un surplus maîtrisé, et des choix cohérents.
🥄 “Je suis un petit mangeur.”
→ Peut-être. Pour l’instant. Mais ça se travaille.
Et quand c’est bien fait, ton appétit évolue avec ton corps.
⏳ “Je n’ai pas faim le matin.”
→ Je te comprends. À mes débuts, il me fallait 1 ou 2 heures avant de pouvoir avaler quoi que ce soit.
Mais j’ai développé des stratégies simples et progressives.
Et maintenant, mon premier repas est devenu un automatisme.
Ton corps s’adapte. Il suffit de l’y amener doucement.
⚖️ “Je ne veux pas peser mes aliments, j’ai peur de devenir obsédé.”
→ Pas besoin de le faire à vie. Mais le faire un temps, c’est ce qui t’apprend à viser juste ensuite.
Manger au hasard, c’est ce qui t’oblige à y penser tout le temps.
Quand tu sais ce que tu fais, tu y penses moins, et tu deviens plus libre.
🧊 “Je ne veux pas devenir rigide avec la bouffe.”
→ Manger avec intention, ce n’est pas être rigide.
C’est savoir ce que tu fais, pourquoi tu le fais, et quand tu peux te permettre plus de souplesse.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯
🚀 Ce que ça change concrètement de manger pour construire
Tu fais le taf à l’entraînement.
Mais derrière… tu mets du temps à récupérer.
Tu te réveilles fatigué. T’as des fringales à 16h.
Et le soir, tu grignotes sans vraiment avoir faim.
Et ton corps ?
Il réagit à peine.
Tu t’entraînes dur, tu t’impliques…
Mais ça ne bouge pas.
Tu te dis :
“Je m’investis. Je force. Mais je vois rien.”
Et peu à peu, la motivation se fait grignoter.
Maintenant imagine : Tu manges pour construire.
Pas au hasard, pas en mode extrême.
Juste ce qu’il faut.
Bien réparti, régulier, adapté.
Et là, tu sens la bascule :
→ Tu récupères plus vite
→ Tu sens plus d’énergie dès l’échauffement
→ Tu gagnes en force, semaine après semaine
→ Tu dors mieux, plus profond, plus stable
→ Tu vois enfin ton corps réagir positivement à ce que tu fais
→ Et surtout — Tu sais pourquoi tu progresses.
Chaque repas devient un vrai levier.
Ton corps te remercie au lieu de te freiner.
⎯⎯⎯⎯⎯⎯
🎬 Et maintenant ?
Tu as deux choix.
❌ Rester dans le flou.
→ “Faire attention”, “manger à peu près bien”, “voir ce que ça donne”…
→ Croire que t’en fais déjà assez.
→ T’accrocher à tes anciennes habitudes.
→ Espérer que ça finira par marcher “à force”.
Et continuer à tourner en rond…
Dans un corps qui fait des efforts, mais qui ne change pas..
✅ Ou faire ce que peu de gens osent vraiment faire :
→ Reprendre le contrôle sur ton alimentation.
→ Nourrir ton corps pour qu’il te le rende.
→ Manger avec intention, pas au hasard.
Parce que manger pour construire, ce n’est pas juste cocher une case.
C’est un vrai engagement envers ta progression.
Et ce que tu donnes à ton corps…
Il va te le rendre.
En muscle.
En énergie.
En confiance.